Après avoir abandonné le spiritisme et les sectes satanistes, il a embrassé le catholicisme, est devenu un catéchiste fervent et un homme dévoué à l'aide des plus démunis. Il est également reconnu comme l'un des plus grands diffuseurs de la dévotion au rosaire au XXe siècle.
Le consistoire du 13 juin devrait également voter sur la date de canonisation du « docteur des pauvres », le Vénézuélien José Gregorio Hernández.
Figure également sur la liste Peter To Rot, le premier bienheureux de Papouasie-Nouvelle-Guinée, tué pendant la Seconde Guerre mondiale pour avoir défendu le mariage.
Les cardinaux décideront également de la date de canonisation de Vincenza Maria Poloni, fondatrice des Sœurs de la Miséricorde de Vérone, à qui l'on attribue la guérison inexplicable d'Audelia Parra, une Chilienne.
Ignazio Choukrallah Maloyan, évêque martyrisé lors du génocide arménien de 1915, sera également canonisé prochainement.
María del Monte Carmelo Rendiles Martínez, fondatrice de la Congrégation des Servantes de Jésus, devrait devenir la première femme sainte du Venezuela. « Mère Carmen », comme beaucoup la connaissaient, restera dans les mémoires pour son immense gentillesse et sa sage prudence.
Maria Troncatti, religieuse professe de la Congrégation des Filles de Marie Auxiliatrice. Cette future sainte était une missionnaire italienne qui a passé une grande partie de sa vie en Équateur.
Enfin, il y a Pier Giorgio Frassati, membre laïc du Tiers-Ordre de Saint Dominique, dont la canonisation est prévue pour le 3 août. Cet aventurier et alpiniste a développé dès son plus jeune âge un amour profond pour le Christ dans l'Eucharistie et la Vierge Marie.
Dans sa jeunesse, il s'est entièrement consacré au service des pauvres et a cherché à évangéliser par la politique, rapprochant ses amis de la foi.
Cet article a été publié pour la première fois par ACI Prensa, le partenaire d'information en langue espagnole de CNA. Il a été traduit et adapté par CNA.