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Un archevêque catholique au Cameroun exprime sa sympathie aux familles endeuillées des victimes d'un éboulement

Les secouristes luttent pour sauver les personnes piégées sous terre dans le quartier de Damas, dans l'archidiocèse de Yaoundé au Cameroun. Les secouristes luttent pour sauver les personnes piégées sous terre dans le quartier de Damas, dans l'archidiocèse de Yaoundé au Cameroun.

L'archevêque de l'archidiocèse de Yaoundé au Cameroun a présenté ses condoléances aux familles des personnes endeuillées suite à un éboulement survenu dimanche 27 novembre dans la capitale de la nation centrafricaine, qui a fait au moins une douzaine de morts.

Selon le gouverneur de la région, Naseri Paul Bea, au moins 14 personnes qui assistaient à des funérailles à Yaoundé sont mortes des suites des éboulements.

"Sur les lieux, nous avons compté 10 corps, mais avant notre arrivée, quatre corps avaient déjà été emportés", a déclaré le gouverneur Bea, cité par Reuters, avant d'ajouter : "Nous transportons les cadavres à la morgue de l'hôpital central, tandis que la recherche d'autres personnes, ou cadavres, se poursuit."

Le gouverneur a ajouté : "Il y a également une douzaine de cas graves" admis dans les hôpitaux.

Reuters a poursuivi en expliquant : "Des dizaines de personnes assistaient aux funérailles sur un terrain de football au pied d'un talus de terre de 20 mètres de haut, qui s'est effondré sur eux."

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Dans un communiqué publié lundi 28 novembre, Mgr Jean Mbarga dit avoir appris avec un "profond choc" la tragédie survenue dans le quartier de Damas suite à un glissement de terrain.

"Je me joins à la population de l'arrondissement de Yaoundé 3 pour présenter mes condoléances à toutes les familles endeuillées", indique Mgr Mbarga, avant de rassurer les victimes de sa "solidarité et de sa proximité spirituelle en ce mois de la Toussaint afin que les âmes des défunts reposent en paix".

L'archevêque camerounais invite "tous les chrétiens de l'archidiocèse de Yaoundé à prier Dieu de réconforter les familles endeuillées".

Selon les rapports des médias sur le glissement de terrain, des dizaines de personnes sont toujours portées disparues alors que les efforts de sauvetage se poursuivent.

Le gouverneur Bea a décrit le lieu du glissement de terrain comme un "endroit très dangereux" et a encouragé la population à ne pas s'approcher du quartier de Damas.

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