"En plus des étudiants de l'école technique, la chapelle publique accueille plus de 2 000 chrétiens chaque dimanche et le patronage compte plus de 2 000 jeunes", indiquent les membres SDB du Centre à propos de leur institution qui, ajoutent-ils, "dispose également d'une grande ferme qui compte 26 hectares de terrain ; dix de ces hectares ont déjà été cultivés pour l'agriculture."
Les aliments cultivés à la ferme, disent-ils encore, "contribuent à nourrir les élèves de l'école et les garçons qui y sont pensionnaires".
Alors que le Centre Don Bosco dispose d'un certain nombre de ressources qu'il utilise pour répondre aux besoins des enfants et des étudiants ainsi que de ceux des autres programmes, les membres des SDB de l'institution affirment que "le soutien nutritionnel est insuffisant".
"Don Bosco Gatenga a vu de plus en plus d'enfants sous-alimentés et mal nourris venir au centre, et la récolte agricole n'est pas suffisante pour les nourrir tous de manière adéquate", disent-ils, et de poursuivre : "Le nombre d'étudiants issus de familles pauvres qui veulent fréquenter l'école pour acquérir des compétences employables a également augmenté."
Dans ce contexte, le "Don Bosco Gatenga Center a reçu un financement de la part des Missions salésiennes, pour aider à fournir un soutien nutritionnel aux étudiants et aux jeunes du centre".
Grâce au financement fourni par les donateurs, les membres de SDB affirment que "quatre hectares de terre ont été cultivés et les légumes qui y sont cultivés sont fournis aux jeunes du centre. Un financement supplémentaire pour le soutien nutritionnel permet de nourrir les 210 élèves au moins un repas par jour."
"Nous apprécions le financement des donateurs qui ont apporté un soutien initial à Don Bosco Gatenga et aux enfants du centre", a déclaré le directeur des missions salésiennes, le père Gus Baek, cité dans le rapport du 11 août.
Le père Baek ajoute : "Des fonds sont nécessaires pour acheter des produits alimentaires supplémentaires afin de compléter et de fournir des repas quotidiens nutritifs à tous. Il y a un grand besoin dans ce centre et la pandémie de COVID-19 n'a fait que rendre les choses plus difficiles."
